Archives de mot-clé : mort

Regard extrême, aux approches, ou dans la peur, de la fin, sur toute la mort, les morts d’une vie

« Cette idée de la mort s’installa définitivement en moi comme fait un amour. Non que j’aimasse la mort, je la détestais. Mais, après y avoir songé sans doute de temps en temps comme à une femme qu’on n’aime pas … Lire la suite

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Quand la mort grimpe sur la vie, en silence

« La mort de Swann m’avait à l’époque bouleversé. La mort de Swann ! Swann ne joue pas dans cette phrase le rôle d’un simple génitif. J’entends par là la mort particulière, la mort envoyée par le destin au service de … Lire la suite

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Impossible possession, perpétuelle solitude

Bien qu’il soit question de vin et de vases dans cet extrait, il semble que le constat que fait Charlus puisse s’étendre aux êtres humains, suggérant que la possession de l’autre est impossible, mais peut-être surtout, que la solitude brisée … Lire la suite

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Splendeurs et douleurs de la condition lucide

« [I]l en est de la vieillesse comme de la mort. Quelques-uns les affrontent avec indifférence, non pas parce qu’ils ont plus de courage que les autres, mais parce qu’ils ont moins d’imagination. » Marcel Proust, Le Temps retrouvé

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Une pensée pour Proust, dont c’est l’anniversaire du décès aujourd’hui. L’écrivain, pourtant fils et frère de médecin, est mort d’une pneumonie qu’il n’a pas réellement voulu soigner, le 18 novembre 1922.

Reposez en paix, Marcel Proust. Vous êtes toujours vivant… Vous n’êtes pas « mort à jamais ».

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Dans la série : mélancolie

« Les années heureuses sont les années perdues, on attend une souffrance pour travailler. L’idée de la souffrance préalable s’associe à l’idée du travail, on a peur de chaque nouvelle œuvre en pensant aux douleurs qu’il faudra supporter d’abord pour … Lire la suite

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« Les 7 stars du Père-Lachaise : la mort de Proust racontée par sa gouvernante », un article du Point.fr

Pour lire l’article et regarder la vidéo, c’est ici :   http://www.lepoint.fr/dossiers/culture/stars-pere-lachaise/les-7-stars-du-pere-lachaise-marcel-proust-ou-le-suicide-litteraire-28-10-2014-1876297_2437.php

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Le temps, plus fort que les océans

« Car la femme qu’on revoit quand on ne l’aime plus, si elle vous dit tout, c’est qu’en effet ce n’est plus elle, ou que ce n’est plus vous : l’être qui aimait n’existe plus. Là aussi il y a … Lire la suite

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Un des innombrables brouillons qui ont bâti, à travers la vie, la maladie et la mort de Proust, À la recherche du temps perdu

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L’amour proustien, plus de mal que de bien

Que ce soit chez Swann où chez le héros1 de la Recherche, la jalousie amoureuse apparaît comme une torture et un mal dont on veut se défaire, car elle est destructrice : « Quelquefois il espérait qu’elle mourrait sans souffrance … Lire la suite

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Proust et les éclaircissements du coeur

Chez Proust, le coeur n’est éclairci que quand l’amour est mort, et la vie derrière soi. « Et il y eut un jour aussi où elle me dit :  » Vous savez, vous pouvez m’appeler Gilberte, en tout cas moi, … Lire la suite

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L’amour, plus grand plus beau mal

« Et la maladie qu’était l’amour de Swann avait tellement multiplié, il était si étroitement mêlé à toutes les habitudes de Swann, à tous ses actes, à sa pensée, à sa santé, à son sommeil à sa vie, même à … Lire la suite

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Mourir un peu

« L’idée qu’on mourra est plus cruelle que mourir, mais moins que l’idée qu’un autre est mort, que, redevenue plane après avoir englouti un être, s’étend, sans même un remous à cette place-là, une réalité d’où cet être est exclu, … Lire la suite

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